Du Mercure dans le Thon ?! On vous explique..

Du mercure dans le thon ?
La question étonne, parfois elle inquiète. Et pourtant, elle mérite d’être posée.

Le mercure est un métal naturellement présent sur Terre. Il peut être libéré lors d’éruptions volcaniques ou de feux de forêts. Mais il est aussi émis en grande quantité par les activités humaines : industrie, incinération, exploitation minière… Ce mercure finit par se retrouver dans l’atmosphère, puis dans les océans.

Une fois dans l’eau, certaines bactéries marines transforment le mercure en méthylmercure, une forme particulièrement toxique pour l’humain. Ce composé s’introduit alors dans la chaîne alimentaire marine.

C’est là qu’intervient la bioaccumulation. Le méthylmercure est absorbé par le plancton, qui est mangé par des petits poissons, eux-mêmes dévorés par des poissons plus gros… Et plus on monte dans la chaîne, plus la concentration augmente. Le thon, grand prédateur, est donc parmi les poissons les plus exposés.

Faut-il s’en méfier ? Pas forcément — tout dépend de la qualité des contrôles.

L’association Bloom, qui avait déjà révélé l’affaire du mercure dans le thon, revient récemment sur le sujet. Elle demande aujourd’hui que le seuil réglementaire de mercure soit abaissé à moins de 0,3 mg/kg, contre 1 mg/kg actuellement.

Chez Parallèles, nous n’avons pas attendu. Tous nos poissons — y compris nos thons — sont régulièrement analysés par des laboratoires indépendants. Et depuis plus de trois ans, toutes nos analyses affichent des niveaux inférieurs à 0,3 mg/kg.

Nous partageons donc pleinement cette exigence de qualité. Et nous sommes fiers de pouvoir dire que nos produits y répondent déjà.

Manger du poisson, oui. Mais en toute confiance. C’est pourquoi nous plaçons la transparence et la rigueur au cœur de notre démarche